tag:blogger.com,1999:blog-64180091700804217822024-02-21T00:16:15.492+01:00survisme, la psychologie constructiveBlog réalisé par Philippe Hugos afin de donner un autre éclairage sur l'actualité générale.
Le monde ne sera jamais plus que, ce que notre cerveau voudra bien en voir.
Note : je n'ai aucun diplôme en médecine et ne cherche pas à en obtenir. Le point de vue décrit dans ce blog est celui d'un logicien.
A vous de voir si un logicien peut apporter une pierre utile à ce monde.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.comBlogger21125tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-51913106261757439472012-02-03T17:55:00.003+01:002012-02-03T17:57:53.070+01:00sites pour essayer de faire avancer les choses, pour l'anorexie, la boulimie/hyperphagie, les sentiments...Pour obtenir une meilleure accessibilité aux infos liées au survisme, de nouveaux noms de domaine ont été achetés :<br /><br />pour soigner l'anorexie, un site direct avec la vidéo expliquant l'anorexie est accessible sur <a href="http://www.soigner-anorexie.fr">www.soigner-anorexie.fr</a> <br /><br />pour soigner la boulimie et l'hyperphagie, un site direct avec le nom : <a href="http://www.soigner-boulimie.fr">www.soigner-boulimie.fr</a><br /><br />et enfin, un site qui explique les sentiments.<br /><br />Non, les sentiments ne sont pas des "trucs magiques et inexplicables". Oui les sentiments sont merveilleux, mais il est facile de les comprendre lorsqu'on en possède la clé. Toutes les infos sont sur <a href="http://www.les-sentiments.fr">www.les-sentiments.fr</a> avec une vidéo expliquant la mécanique des sentiments et également une vidéo sur "le suicide".<br /><br /><br />Ces sites sont évidemment gratuits et accessibles à tous puisque le but est d'améliorer la face du monde et non de "se gaver".Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-44885252556669943482010-12-29T21:59:00.002+01:002010-12-29T22:02:00.720+01:00Isabelle Caro ou le triomphe de l'incompétence.Que les choses soient claires immédiatement, cet article ne condamne pas Isabelle Caro, victime de TCA (plus précisément d'anorexie). On ne choisit pas d'être victime de cette maladie.<br /><br />Par contre, une fois de plus on assiste au triomphe de l'incompétence des médecins et autres psys. Isabelle Caro est décédé en novembre 2010 malgré sa médiatisation, malgré le fait qu'elle soit soignée. <br />Et une fois de plus, les médias ont parlé de « la mode de la minceur » comme étant l'un des moteurs de cette maladie. Incompétence et propagation de l'incompétence.<br />Imaginez tous ces parents désemparés qui essayent de comprendre leur enfant anorexique avec l'idée que leur enfant ne mange plus parce qu'il veut devenir mannequin...<br />Voie sans issue sinon celle de la mort.<br /><br />Dans une interview donnée par le Professeur Rufo dans le journal du 20 H sur France 2 suite à l'annonce de la mort d'Isabelle, le docteur parle entre autres de « la rechute » qui une compostante normale dans le processus de guérison. Quelle incompétence ! La rechute n'est que le signe de l'erreur de cible, la rechute montre que les théories utilisées par les « spécialistes » sont mauvaises. <br /><br />Et que penser lorsqu'il dit qu'un patient n'est plus anorexique quand il devient boulimique. La belle avancée ! Soit, ça change les statistiques mais le patient, lui, reste enfermé dans les TCA.<br /><br />L'incompétence médiatique est également présente lorsque ces derniers demandent à une anorexique de décrire la maladie dans laquelle elle est enfermée... Comment une personne victime de TCA peut-elle décrire correctement cette maladie tout en restant malade ?<br />La personne malade ne peut pas décrire correctement les méandres de cette maladie car elle est elle-même toujours empêtrée dans ses raisonnements faux.<br />On demande éventuellement à une personne qui en est sortie et non à une personne toujours malade.<br />Médias incompétents, probablement parce que beaucoup de journalistes portent aux nues l'approche Freudienne. (Rappelons que l'approche Freudienne prétend que la femme est un être inférieur à qui il manque un pénis/ pas étonnant alors qu'une anorexique reste dans son sentiment de culpabilité jusqu'à...). <br /><br />A quand des excuses publiques des médecins lorsque leurs patients victimes d'anorexie décèdent ?<br /><br />Pour de bonnes infos sur l'anorexie et les TCA : <a href="http://www.iopiop.org">www.iopiop.org</a>Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-7943838564087277292010-04-10T09:54:00.000+02:002010-04-10T09:56:27.633+02:00Joël Devillet sur Canal + (en clair) dans l’émission « salut les terriens » du samedi 20 mars 2010Qui est Joël Devillet ?<br />C’est l’auteur d’un livre nommé « Violé par un prêtre » aux éditions de l’arbre.<br /><br />Il écrit qu’il voulait être prêtre, mais que les viols qu’il a subit d’un prête , le silence de la hiérarchie de l’église, l’on dégoûté de la foi.<br /><br />Un témoignage parmi des milliers. Un témoignage insupportable mais qui décrit bien la réalité que certaines personnes peuvent subir, avec toutes les pressions de l’entourage pour se taire, toute la torture interne subit par la victime, etc.<br /><br />Ayant eu le courage d’aller jusqu’au procès, les coupables ont été condamnés à payer la « réparation », à payer sa thérapie liée au traumatisme qu’il a subit. Mais ce qui a retenu mon attention, c’est lorsqu’il décrit que pour se soigner, il a dû payer une partie de sa thérapie avec son propre argent. Qui lui demandait cela ? Les thérapeutes. Pourquoi demandaient-ils cela ?<br /><br />Parce qu’ils étaient psychanalystes, et que les psychanalystes freudiens ont comme dogme :<br />Le patient doit payer de sa poche pour que la thérapie fonctionne. Ce paiement doit être « une implication au changement ». Voilà entre autres pourquoi la psychanalyse n’est jamais une « science gratuite ». (A savoir, les sectes agissent exactement de la même manière).<br /><br />Faire payer de sa poche, une victime, et lui faire croire que ça fait partie de sa thérapie… <span style="font-weight:bold;">C’est un scandale hélas général en France et dans de nombreux pays ou la fausse science qu’est la psychanalyse Freudienne est dominante.</span> Scandale parce que cela ajoute une fois de plus une impression de « culpabilité » chez la victime, alors qu’il faut au contraire qu’elle commence par se déculpabiliser pour arriver à penser correctement.<br /><br /><span style="font-weight:bold;">La thérapie d’un tel cas devrait consister à « modifier les informations déformées » par les viols,<br />A savoir, arriver à répondre correctement aux questions </span>: <br /><br />Qu’est-ce qu’une relation sexuelle,<br />Pourquoi le pédophile agit-il ainsi,<br />Qu’est-ce que la famille,<br />Qu’est-ce que la morale,<br />Qu’est-ce que la justice,<br />Où commence ma responsabilité dans ce qui s’est passé,<br />Etc.<br /><br />Bref,<br />Une fois de plus la psychanalyse démontre son incapacité à être efficace, et j’ai de la peine pour les personnes psychanalysées pendant des années. Elles deviennent esclaves de cette approche.<br />Bravo à Joël Devillet qui a su réagir et communiquer son expérience.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-58199501738712613262010-03-17T14:14:00.002+01:002010-03-17T14:18:57.757+01:00Jusqu'où va la télé ?<span style="font-weight:bold;">Le jeu de la mort, documentaire diffusé ce soir mercredi 17 mars 2010.<br /></span><br /><br />Des extraits vu lors du journal de 20 h de mardi avant la diffusion ce soir mercredi, m’ont fait bondir.<br />On y voit des psychologues, dubitatifs et ne pas comprendre les agissements d’humains lors d’un jeu télé.<br />Principe du jeu : des candidats doivent pour « gagner » envoyer des décharges électriques à une autre personne.<br />Ces décharges font très mal (en apparence seulement car celui qui est censé recevoir les décharges est un comédien).<br />Ce jeu est un « faux jeu », une expérience scientifique dont le but est de savoir « jusqu’où l’humain est capable d’agir, lorsqu’on lui dit de faire du mal à une personne inconnue ».<br /><br />Cette expérience a déjà été menée dans les années 1960 aux Etats-Unis avec des étudiants (sans le prétexte du « jeu télévisé »).<br /><br />Pourquoi avoir fait une telle expérience en 1960 ?<br />Pour mieux comprendre le comportement « petit soldat » bien obéissant (avec en toile de fond « comprendre le niveau de culpabilité des gardiens des camps de la mort pendant la 2ème guerre mondiale » mais plus généralement, « comprendre les mécanismes qui permettent aux humains de franchir les limites de la morale »)<br /><br />La nouveauté de cette expérience des années 2010 ?<br />Inclure dans l’expérience le paramètre « jeu télé ».<br /><br /> <br />Rien à redire jusque là.<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Mais aux vues des extraits de l’émission, je crie « AU SCANDALE ! »</span><br /><br /><br />Pourquoi ?<br /><br />Parce que les psychologues diplômés d’Etat semblent totalement « perdus » face à ces comportements.<br /><br />Il est évident que lorsque dans ses cours, les théories Freudiennes sont prédominantes (pour ne pas dire exclusives) on a du mal ensuite à faire entrer des principes comme « Œdipe » ou d’autres « schéma préétablis basés sur des erreurs » dans des comportements comme celui d’envoyer une décharge électrique à une personne inconnue !<br />Psys qui basez vos analyses sur l’approche Freudienne, vous êtes pitoyables, lamentables et une honte pour l’intelligence humaine !<br /><br /><br />Que se passe-t-il en réalité dans la tête des personnes envoyant une décharge électrique douloureuse à une personne inconnue ?<br /><br />Les valeurs, <span style="font-weight:bold;">leurs informations prioritaires sont les suivantes :</span><br /><br />(ces valeurs sont évidemment fonction d’un seul principe : la survie)<br /><br /><br />D’un côté, il y a la souffrance d’une personne (celle qui reçoit les décharges). Mais c’est une souffrance apparente car il n’y a aucun élément transmis à la personne envoyant la décharge (le sujet) qui lui prouverait que les décharges sont vraies. (Le sujet ne prend pas la place de la future victime pour vérifier la souffrance par elle-même, elle ne vérifie pas le circuit électrique, etc.) Ce qui permet au doute d’exister.<br /><br />De l’autre côté, le sujet doit, pour assurer sa survie, obéir aux règles du jeux (sinon il perd).<br /><br />Il est conforté par l’animateur du jeu dans l’idée qu’il doit appuyer sur le bouton car c’est le jeu.<br />Il est déresponsabilisé par l’animateur du jeu par les phrases : « nous assumons les conséquences de vos actes, vous devez agir ».<br />Il doit faire du mal à une personne qu’il ne connaît pas, cela est moins gênant que s’il connaissait la personne.<br /><br />Ainsi, <br />- lorsque vous avez des humains qui ne veulent pas perdre (valeur prioritaire : gagner assure ma survie),<br />- lorsque vous avez des humains qui ne veulent pas désobéir, (valeur prioritaire : obéir assure ma survie, j’ai peur d’une éventuelle punition),<br />- lorsque vous avez des humains qui ne veulent pas être responsables de leurs gestes (si quelqu’un assume les actes à ma place, je ne pourrais être accusé par qui que ce soit, aucun procès ou autre menace),<br />- lorsque vous avez des humains qui ont un petit doute (même inconscient) sur la douleur réelle de l’autre,<br />- lorsque la future victime n’est pas connue et proche du bourreau (lorsque l’on connaît une personne et qu’on l’apprécie, la survie passe par la protection de ses proches et non leur destruction),<br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">vous avez comme résultat :</span> j’appuie sur le bouton qui envoie une décharge électrique à une tierce personne.<br /><br /><br />Et lorsque les informations citée ci-dessus ne sont pas présentes dans le cerveau des sujets (lorsque par exemple le sujet n’en a rien à faire de gagner ou perdre à un jeu, n’en a rien à faire d’obéir ou non à un ordre, lorsque le sujet a une conscience qui lui interdit de se décharger sur la responsabilité d’un supérieur, etc, etc.) et bien le sujet n’envoie pas de décharge électrique.<br /><br />C’est logique, mathématique, imparable.<br /><br />Tout n’est que « valeurs prioritaires » et fonction de la survie. <br /><br /> <br />Alors « psychologues » interviewés dans l’émission télé…<br /><br />Où avez-vous mis votre cerveau ? Quand est-ce que vous allez reléguer à leur place (les livres d’Histoire) les théories Freudiennes ? Quand est-ce que vous allez apprendre les principes du survisme pour connaître correctement les informations présentes pour tel ou tel comportement humain ???<br /><br /><br />En attendant ce moment, vous propagez votre bêtise, votre obscurantisme et c’est intolérable.<br /><br /><br />Philippe Hugos.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-40205232681092338122009-03-27T15:08:00.001+01:002009-03-27T15:10:32.948+01:00vendredi 27 mars 2009 14h15J’étais par hasard devant mon poste de télévision à cette heure là.<br />Qu’y avait-il à voir ?<br />Entre autre un critique littéraire parlant de plusieurs livres sur… la psychanalyse.<br /><br />Rappel :<br />L’analyse de la psychée est une bonne chose pour comprendre nos agissements.<br />Mais la psychanalyse, c’est autre chose. C’est une approche qui explique nos comportements suivant des éléments tirés de légendes grecques telle Œdipe, tout en détournant la réalité des propos de ce récit.<br />Du grand n’importe quoi<br /><br />De quoi parlent ces livres ? De psychanalyse, mais pas d’un point de vue scientifique. Ce serait trop beau / de toutes manières la psychanalyse n’a rien à prouver vu que c’est une religion et qu’elle s’est octroyée par l’âge et la connivence, le pouvoir sur toutes les universités françaises. Ces livres non scientifiques sont du domaine de la « littérature ».<br /><br />Pour résumé : des romans où « la psychanalyse » est un personnage a part entière.<br /><br />Ainsi, pour rajouter une « couche de preuve » que la psychanalyse est super, qu’elle est omniprésente, essentielle, on utilise les romans. Et la légende continue.<br />De quoi en parler encore des heures et des heures à la télévision.<br /><br />Privilégier cet occultisme est une honte pour l’intelligence humaine.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-15286959036741275942009-02-20T14:45:00.002+01:002009-02-20T14:49:42.328+01:00France 2 Envoyé spécial du jeudi 19 février 2009Deux reportages me font réagir. Le premier :<br /><br />«Ces enfants qui passent la frontière». <br /><br /><span style="font-style:italic;"><br />Résumé : <br />« Julien, Jonathan et Mathieu ont entre 8 et 16 ans et souffrent de troubles du comportement. Les services sociaux ont préconisé leur placement dans un institut spécialisé. Mais en France, il existe trop peu de structures d'accueil. Les familles se tournent vers l'étranger. En Belgique, le Foyer de Roucourt propose un suivi psychologique et un encadrement. »</span><br /><br />Nous apprenons dans ce reportage, que la plupart des enfants difficiles sont dans des familles nombreuses et pauvres.<br />Suffit-il de naître dans une famille riche pour éviter ce problème ?<br />Non, car ce reportage montre un seul lieux, proche de la frontière française (proche du département du Nord, qui n’est pas le plus riche de France) avec des familles bénéficiant des services sociaux<br /><br />On remarquera tout de même que les enfants n’ont pas de limite réellement transmise par les parents.<br />L’un de parent avouant : « maman poule lève les punitions pour être tranquille ».<br />Autrement dit, par flemme, ou par fatigue, ou par incompétence parentale, le parent ne transmet pas les bonnes informations à son enfants, les informations qui lui font comprendre que les limites existent pour une bonne raison : une vie en société harmonieuse.<br /><br />On note également un manque d’amour, une communication très mauvaise entre les générations.<br /><br />L’école n’est aux yeux des parents, « pas si important que ça ».<br /><br />Pourquoi j’écris article :<br /><br />Pour insister sur le fait qu’en France, il n’y a pas de structures suffisantes pour ces enfants, et qu’on est obligé de les envoyer en Belgique.<br />La France (par négligence et incapacités intellectuelles des structures psychologiques) maltraite une fois de plus ses enfants.<br /><br />A propos des intervenants spécialisés dans l’institut en Belgique, <br />Lorsque l’un deux dit à un enfant « arrête de rire quand je te dis des choses sérieuses ! »<br />il faudra peut être expliquer à cet intervenant, que ce rire permet de savoir quelle valeur d’importance l’enfant accorde à l’info communiquée. <span style="font-weight:bold;">En clair, l’enfant a ri parce qu’il savait qu’il ne devait pas franchir la limite, (le ton de l’éducateur « menaçait sa survie ») mais que finalement pour lui, franchir cette limite ne le menaçait pas tant que ça (pas de sanction, pas de peur forte). </span><br />Autrement dit, il n’y avait pas de « moquerie » en présence, juste un enfant qui n’a pas les mêmes valeurs que l’éducateur. A l’éducateur de modifier ces valeurs différentes.<br /><br />Il en va de même pour comprendre la violence des enfants : <br /><span style="font-weight:bold;">Un enfant est violent quand il a l’impression que sa survie est grandement menacée.</span><br />(s’il se trompe, à l’éducateur de l’aider à modifier la valeur exorbitante que l’enfant a attribué à l’événement)<br />(s’il ne se trompe pas, à l’éducateur de protéger l’enfant contre la menace).<br /><br /><br /><br /><br /><br />«Un rêve sans fin». <br /><br /><br /><span style="font-style:italic;">Résumé :<br />« Certains scientifiques, chercheurs en génétique ou visionnaires américains et britanniques se penchent sur l'allongement de la vie. »</span><br /><br />En gros, dans le reportage, on apprend que les nano-technologies vont nous aider à nous soigner, etc.<br />Le tout, expliqué par un « Tanshumaniste... » <br />Ce terme de transhumaniste est fascinant… Aller par delà l’humain…<br /><br />Alors, les technologies à l’échelle nanoscopique, est-ce un bienfait ou pas ? <br />Le problème va être de savoir gérer ces « mini-robots » lorsqu’ils seront des déchets…<br />Déjà à l’heure actuelle on est incapable de traiter correctement les eaux usées pour les débarrasser des différentes hormones qui finissent par changer le sexe des poissons dans les rivières, alors des « appareils » à l’échelle du nano… Bonjour les problèmes futurs !<br /><br />Connaître, créer, explorer, sont des attitudes normales pour augmenter nos capacités de survie.<br /><span style="font-weight:bold;">Mais plutôt que chercher à solutionner la « quête d’éternité », l’humain devrait plutôt apprendre à gérer l’information « mort ».</span> Cela lui éviterait les traumatismes ainsi que les courses folles à la technologie futuriste.<br />Sans oublier que même lorsque l’on vit 250 ans, un jour, on meurt. <br /><span style="font-weight:bold;">Donc le problème ne change pas : affronter sa fin.</span>Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-27180959013639713132009-02-14T01:57:00.002+01:002009-02-20T14:50:41.905+01:00La superstition du vendredi 13…Beaucoup de choses dans notre monde semblent le fait du hasard. Est-ce le cas ?<br />Toujours est-il que tout n’est pas quantifiable, maîtrisable.<br />Et la superstition sert de réponse au problème : la peur de ne pas maîtriser ou l’envie de maîtriser.<br /><br />Il y a en effet deux sortes de superstition : <br />Celle liée à la peur de ne pas maîtriser autrement dit, « pour éviter les ennuis » : <br />Exemple :<br />« ne pas passer sous une échelle », « ne pas croiser le chemin d’un chat noir », etc.<br /><br />Et celle pour « maîtriser » le hasard de la chance :<br />Exemple :<br />« je vais jouer à un jeu de hasard le vendredi 13 », « je porte les mêmes habits (chaussettes ou gants, etc.) lorsque je participe à une manifestation sportive », etc.<br /><br />Mais dans les deux cas, il y a comme axe d’analyse : « la survie » (comme d’habitude)<br /><br />Pour « éviter les ennuis » (pour mieux assurer notre survie) <br />ou pour « attirer la chance » (pour mieux assurer notre survie) <br /><span style="font-weight:bold;">nous utilisons un repère connu et maîtrisable </span>(le repère connu et maîtrisable étant « avoir un comportement précis comme ne pas passer à tel endroit », ou « être en présence d’un objet précis »).<br />Evidemment, une « patte de lapin » n’a rien avoir avec les boules chiffrées du loto, mais, dans notre tête, <span style="font-weight:bold;">l’information « patte de lapin » = « maîtrise de la chance »</span><br /><br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Le cerveau manque de maîtrise dans une situation donnée ?<br />HOP ! Il place à côté de l’information « je ne maîtrise pas à 100% ce qui se passe » une information qu’il maîtrise, comme un « doudou pour être plus en sécurité ».</span><br /><br /><br /><br />Evidemment, cette analyse est valable pour les personnes superstitieuses.<br /><br />Lorsque la valeur dominante de l’individu est « je ne crois pas en ces conneries », avoir un comportement de superstitieux n’assure en rien la survie de cette personne ! Et au contraire, agir en dépit de la superstition, lui donne l’impression d’être libre, supérieur. <br />La survie est alors dans les valeurs dominantes : « la liberté et le rationalisme ».<br /><br /><br /><br />J’espère que vous aurez noté qu’en aucun cas le survisme dit « il faut être superstitieux » ou « il ne faut pas être superstitieux ». Le survisme permet juste de voir quelles sont les valeurs dominantes des personnes superstitieuses, et quelles sont les valeurs dominantes des personnes non superstitieuses.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-85374109685851049192009-01-22T23:43:00.004+01:002009-02-20T14:51:33.536+01:00Meutre de sa meilleure amieCamille, Constance, Rouen, début janvier 2009.<br /><br />C’est l’histoire de deux amis très très proche, qui ne se quittent jamais.<br />Elles sont d’un milieu aisé toutes les deux, suivent des cours dans un lycée privé, et de l’avis de leur professeur, ce sont des filles sans histoire.<br /><br />Sauf que l’une va assassiner l’autre sous prétexte que cette dernière sort avec son ancien petit copain qu’elle aime encore.<br /><br />Des coups de couteau, de marteau…<br /><br />Comment expliquer cet acte de sauvagerie pour un tel prétexte, dans un milieu protégé des affres de la société ?<br /><br />En préambule, cet événement doit nous rendre humble car « nous ne sommes pas aptes à juger correctement d’une personne seulement en la côtoyant, ne serait-ce tous les jours ».<br />Combien de personnes ont été étonnées le jours où elles apprennent que leur voisin ou voisine a commis un crime ? Nous, humains, sommes potentiellement capables de tout, du plus merveilleux au plus abominable. Et à ceux qui croient « être beaucoup trop normal pour commettre des abominations », qu’ils n’oublient pas qu’en tant de guerre ou « en temps voulu », l’agneau peut se transformer en loup.<br /><br />Trêve de préambule et occupons nous de décrypter les informations présentes dans ce crime.<br /><br />Suivant les témoignages, ces deux amies étaient très proches. Très très proches.<br />Semble-t-il au point de "ne former « qu’un », « toujours fourrées ensemble du matin au soir ».<br />Toi c’est moi, et moi c’est toi."<br />Sorte de fusion psychique, du moins dans la tête de Constance.<br /><br />Et lorsque Constance (toujours amoureuse de son ex petit ami) apprend soudainement que Camille sort avec son ex petit ami, forcément, Constance a l’impression d’être trahie par Camille.<br /><br />(le témoignage (passé à la télé) d’une de ses camarades de classe nous apprend que Camille redoutait le moment de le dire à Constance.)<br /><br />Que se passe-t-il dans une telle configuration <span style="font-style:italic;">(loin de la réalité)</span> lorsqu’il y a une impression de trahison ?<br /><span style="font-style:italic;">(loin de la réalité car Constance s’imagine être « un » en étant deux, alors que dans la réalité l’individu reste l’individu, même en couple ou entre amis proches l’individu reste « un » et non « deux »)</span><br /><span style="font-weight:bold;">Il y a menace sur son intégrité : une partie de vous a la gangrène, alors il faut amputer. C’est un mal nécessaire. C’est une question de survie.</span><br />Pour un individu « proche de la réalité » (c'est-à-dire qui n’est pas malade), tuer une personne est un crime.<br />Mais dans la configuration imaginée par Constance, tuer l’autre n’était pas un crime, ça lui assurait sa survie de se débarrasser d’un poison !<br /><br />Du moins dans un premier temps, dans le temps de la découverte de la gangrène. De caractère sanguin, pour la jeune fille trahie, la meilleure défense c’est l’attaque !<br /><br />Jusqu’à ce qu’elle se rende compte de son geste.<br />Dans cette prise de conscience, tuer l’autre si proche, c’est comme se tuer soi-même. Et ça devient insupportable d’être encore en vie quand l’autre n’est plus.<br /><br />Ainsi, dans l’histoire de ce couple, on passe de <span style="font-weight:bold;">« l’harmonie totale » « être UN avec deux têtes et deux corps » à « gangrène, poison » « élimination du poison parce que survie grandement menacée », « prise de conscience » « dépression et envies suicidaires ».</span>Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-86716274228258237492008-12-17T01:54:00.005+01:002009-02-20T14:52:21.764+01:00TF1 émission « confessions intimes » du 16.12.2008 produit par Quai Sud.Pauvre Jennifer. <br /><br />Ce mardi soir, j’ai pu voir le début de cette émission avec le témoignage d’une anorexique/boulimique/vomitive.<br />On y découvre une femme avec deux enfants (Nolan et Lucas), ainsi que son mari Sébastien et ses parents, qui « ne comprennent pas » cette maladie. Ce message s’adresse en grande partie à eux même si je sais qu’il n’y a pratiquement aucune chance qu’il leur parvienne.<br /><br />Jennifer s’exprime dans le reportage :<br /><span style="font-weight:bold;">« ma maladie, c’est ma copine, elle est mon alliée, je l’aime bien. Je ne peux pas vivre sans parce qu’elle fait partie de moi. »</span><br />Oui Jennifer, car dans ta tête, tu as l’obsession de la culpabilité, et cela « assure ta survie » que de te punir pour le crime que tu penses avoir commis.<br />Il est donc parfaitement normal de « se punir » quand on croit être coupable. Toutes ces souffrances te semblent normales, justes.<br /><br />Puis, elle lit un texte (d’une manière pas du tout naturelle) où elle dit à peu près cela :<br />« c’est vers 17 ans que tout as commencé, mes parents se disputaient souvent et pour éviter ces crises entre eux, j’ai voulu attirer leur attention sur moi, en me faisant du mal, … »<br /><br />Non Jennifer. Vous vous êtes sentie coupable des engueulades de vos parents, (vous n’avez pas assez communiqué à l’époque pour savoir, trop jeune, ce n'est pas votre faute) il fallait une « cause » pour votre cerveau, et votre cerveau d’enfant s’est dit faute de trouver mieux : « c’est ma faute ».<br />Vous vous êtes répété cela pendant des années et des années. C’est devenu une « vérité ». Et comme pour tout coupable il faut une punition, depuis, vous vous punissez en vous faisant souffrir.<br /><br />« ce que je ne savais pas, c’est que je ne pouvais pas faire machine arrière ».<br /><br />Si si Jennifer, votre comportement n’est pas « jusqu’à la fin ». <br />C’est une démarche longue et douloureuse, mais vous pouvez changer l’information dans votre cerveau, qui vous dit « je suis coupable ».<br />Vous n’êtes pas coupable, vous êtes malade, victime de TCA.<br /><br />« la nourriture est mon obsession et mon ennemi ».<br />Non Jennifer, votre ennemi ce n’est pas la nourriture ou vous-même, c’est une information fausse dans votre tête, information qui a amené à votre sentiment de culpabilité.<br /><br />Dans une autre partie de son témoignage, on comprend bien la confusion des informations, (confusion qui expose un problème grave de compréhension des éléments en présence).<br />Elle dit (sans lire cette fois-ci, c’est à dire naturellement) :<br /><br />« Quand je me regarde, je me dis « tu ressembles à toutes les autres », il faut que je me caractérise… différente. <span style="font-weight:bold;">Ou devenir invisible</span>. »<br /><br />Que peut-on comprendre dans « tu ressembles à toutes les autres » ?<br />Un problème pour trouver sa vraie personnalité ?<br />Soit, les personnes qui souffrent de TCA ont souvent du mal à « savoir qui elles sont » car elles se haïssent (toujours en rapport avec le sentiment d’être une criminelle, responsable).<br />Mais « ressembler à toute les autres » c’est surtout insupportable parce qu’elle se sent déjà différente. Pourquoi elle se sent différente ? Parce qu’elle se sent « criminelle », pas « normale ».<br />Et la meilleure preuve que « être comme les autres » ou « exister par elle-même » n’est pas le problème, c’est qu’elle finit par la phrase « je veux devenir invisible ».<br />Qui, pour « exister » a envie d’être invisible ? C’est un non-sens apparent !<br />Sauf que… ce n’est pas un non-sens. Ça veut bien dire ce que ça veut dire :<br />« je suis mal, je suis nulle, je suis responsable, donc, je dois être punie, je dois… disparaître ».<br />(être invisible).<br /><br />Intervient le témoignage de Florence, qui explique qu’elle a suivit une thérapie de groupe, où elle s’est aperçu que d’autres personnes avaient les mêmes souffrances, les mêmes réactions face aux problèmes, et donc, elle ne se sentait plus seule face à tout ça.<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Que penser de ces thérapies de groupes ?</span><br /><br />Elles sont très bien pour une prise de conscience.<br />Pour une « première » prise de conscience, à savoir : « je ne suis finalement pas seule dans ce cas, je n’ai pas un comportement incompréhensible ou du moins d’autres font pareils, souffrent de la même manière, etc ».<br />Et parfois, cette première prise de conscience permet de relâcher la pression au point de ne plus avoir recours aux « crises ».<br />Mais il ne faut pas s’arrêter là, car dans la tête, il reste un sentiment profond de culpabilité, et si ce dernier n’amène plus forcément à un comportement alimentaire extrême, il peut tout de même s’extériorisé dans d’autres comportements extrêmes : surprotéger ses enfants, s’occuper d’association à 100% et oublier de vivre pour soi, etc.<br />Donc, il est important de ne pas s’arrêter à la « thérapie de groupe » et de faire en sorte de remettre à leurs places les informations qui ont pris une mauvaise place dans le cerveau.<br />(voir indications supplémentaires sur <a href="http://www.iopiop.net">www.iopiop.net</a> qui est un micro site spécialisé dans les TCA et qui explique l’approche du survisme dans ce domaine.)<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Dernières remarques sur cette émission :</span><br />Il y a eu un bandeau que je qualifie de publicitaire pour « boulimie.fr » avec le commentaire « si vous voulez plus d’infos, allez sur ce site ».<br /><br />Faire un site sur la boulimie, c’est très bien.<br />Le problème c’est que c’est le site d’un seul psychologue qui vend lui même ses prestations de psychothérapeute.<br />Un autre problème (même s’il faut reconnaître que le site parle de plusieurs approches pour soigner / bon, évidemment, il ne parle pas de survisme, nulle n’est parfait ! ;o) l’autre problème donc, réside dans les pages qui parlent de psychanalyse :<br />Il est écrit que « c’est une bonne méthode pour se soigner ».<br /><br />Je regrette mais le freudisme ne peut en aucun cas être une bonne méthode pour la raison suivante :<br /><br />Pour Freud, la femme est un être incomplet (il lui manque le sexe de l’homme. Si si, renseignez vous, c’est son approche de la psychologie féminine). Or, cette approche est culpabilisatrice.<br />Comment dans ce cas arriver à déculpabilisé la victime de TCA si on le fait avec une approche qui est fondée sur le fait que de toute manière, la femme est un être incomplet, qui n’est pas « normal » ???<br />Sans oublier tout le délire sur « l’œdipe mal résolu » ou « la quête du sein » qui sont des explications « potentielles » dans le sens où c’est une interprétation libre à chacun, mais en aucun cas ça n’aide à remettre les informations du cerveau qui ont été déformées, en aucun cas ça n’aide le malade à ne plus se sentir coupable pour un crime imaginaire.<br /><br />Donc, <span style="font-weight:bold;">le freudisme ne peut soigner les TCA.</span><br />(et ce ne sont pas les victimes de TCA qui sont en analyse depuis des années, des années et des années, qui nous diront/prouveront le contraire).<br /><br />Dans le reportage, à la fin, Jennifer dit que pour s’en sortir, elle va « essayer de ne plus être une petite fille ». ça me laisse songeur car généralement, c’est le discours des freudiens qui fait croire que les TCA arrivent quand on est « immature »…<br /><span style="font-weight:bold;">Encore une belle connerie. L’un n’a rien à voir avec l’autre.</span><br /><br />Dernière « erreur » liée au reportage :<br />Lorsque l’on visionne la bande annonce de l’émission sur le site tf1.fr , à quoi a-ton droit juste avant la bande annonce ? A une pub pour la bouffe : les galettes Saint Michel !<br />Incroyable. Ok, le problème dans ces maladies de TCA n’est pas directement la bouffe, mais franchement, mettre une pub pareille pour un sujet pareil… Y’a quand même une faute de la part du site internet de TF1.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-64364490464500482962008-12-13T16:46:00.001+01:002008-12-13T16:49:43.821+01:00Femme kidnappeuse d’enfantCommençons par le témoignage du mari :<br /><br /><span style="font-style:italic;">Je n'avais pas de soupçon. Je ne l'ai jamais poussée à avoir d'enfant" dit à RTL Frédéric, 36 ans, le mari de Dominique, 48 ans, en garde à vue pour avoir enlevé Diango, 2 jours.<br /><br />Je ne comprends pas son geste, elle aime les enfants, elle a certainement eu un désir d'enfant fort, je suis trop choqué pour analyser la situation bien comme il faudrait, c'est la catastrophe, le ciel vous tombe sur la tête...<br /><br />Source interview :<br />http://www.lepost.fr/article/2008/12/11/1353918_bebe-enleve-elle-m-avait-dit-qu-elle-etait-enceinte-elle-avait-tous-les-signes-je-suis-sous-le-choc.html<br /></span><br /><br />Pour cette femme, l’équation est simple :<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Enfant à s’occuper = survie<br /><br />Pas d’enfant à s’occuper = mort</span><br /><br />Elle a eu 6 enfants durant sa vie, n’a fait qu’élever des enfants, et lorsque les enfants sont plus grand, à quoi sert-elle ? <br />Dans sa tête, sans enfant, elle ne sert plus à rien. Et à 48 ans, elle ne pourrait plus enfanter elle-même.<br />Solution ? <br />Prendre un enfant là où il en a : dans une maternité.<br /><br />L’objectif étant obsessionnel, elle met en place un stratagème pour habituer son entourage à la future venue de l’enfant.<br />Et ce, malgré le fait que la femme ait (selon les dire de son frère) subit une opération rendant impossible la procréation.<br /><br />Si sa survie était simplement de s’occuper d’enfant, peut-être aurait-elle pu garder des enfants au lieu de commettre cet enlèvement ?<br /><br />Quelle information a fait qu’elle a préféré la seconde solution ?<br /><br />Pour garder les enfants des autres, il faut « aller vers les autres ». Et apparemment, cette femme vivait repliée sur sa famille (6 enfants, ça occupe). Le manque de communication vers l’extérieur, les mensonges multiples (toujours selon les dire de son frère), font que le monde extérieur menace plus sa survie qu’il ne l’assure.<br />La solution de « garder des enfants », impliquant un minimum de formation et de formalités administratives ont fait qu’il lui était beaucoup plus « facile pour sa survie » de kidnapper un enfant.<br /><br />Aucun mystère dans ce comportement : juste des valeurs dominantes différentes de « la norme ».Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-85241784360851614572008-12-09T14:44:00.000+01:002008-12-09T14:45:12.642+01:00Prix plutôt que la qualité !Ce midi, c’est l’une des grandes découvertes du jour aux infos télévisées (commandée par une étude des professionnels du secteur de la grande distribution) : les consommateurs se mettent vraiment à privilégier le prix d’achat le plus faible, à la qualité du produit.<br /><br />C’est le cas depuis longtemps pour certaines catégories sociales de personnes, mais, tout n’étant que « moyennes », il y a maintenant une majorité de citoyens qui privilégie le prix, crise oblige.<br /><br />Que vient faire cette information dans un blog qui analyse les informations présentes dans le cerveau ?<br /><br />Elle vient simplement appuyer le fait que la « survie » de plus en plus de personnes, passe par un contrôle du prix. La valeur dominante moyenne n’est plus « la qualité d’abord », mais « le prix d’abord ».<br /><br />Comme quoi, pas la peine d’aller dans la jungle pour que la « survie » soit l’organisatrice de tous nos agissement, qu’ils soient à l’échelle macro (échelle de la société) ou micro (échelle de l’individu).<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Prix faibles = survie assurée / prix élevés = menace pour ma survie.</span><br /><br />A noter que pour ceux qui ont les moyens ou qui se donnent ces moyens (en se privant ailleurs, pour d’autres achats), la valeur dominante reste la qualité, en achetant bio ou en achetant les « médicaliments » qui font du bien à la santé (parait-il, suivant les publicités).Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-65053297587845791302008-12-09T14:42:00.000+01:002008-12-09T14:43:53.281+01:00Procès du père pharmacien qui oublie son fils dans la voiture en plein soleil, entraînant la mort de ce dernier.Je réagis à « comment peut-on oublier son fils dans une voiture en plein soleil, lorsqu’on est soit disant un bon père ? »<br /><br />Il est bon de rappeler que le monde extérieur, est ce que notre cerveau interprète comme tel.<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Si l’information « mon fils doit occuper toutes les secondes que je vis » est dominante, alors « oublier son fils dans la voiture est impossible ».<br /><br />Si l’information « mon fils est important mais ce n’est pas le centre du monde en permanence » est dominante, alors le cerveau peut oublier le « paramètre fils » même lorsqu’il ne devrait pas pour des raisons morales ou autres.</span><br /><br />L’information « fils dans la voiture » n’a pas été traité en priorité par le cerveau de ce pharmacien.<br />Aux dires du père, « j’ai été perturbé par un accident et un délit de fuite auquel j’ai assisté ».<br /><br />Le père doit-il est condamné ? <br />Ça, c’est l’affaire de la justice et non d’une autre profession. J’espère que les psychanalystes et leurs jugements de valeurs (la notion de « pervers » est permanente chez les psychanalystes) ne viendront pas engluer l’affaire avec des analyses loufoques et complexes.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-59262092542337126482008-11-28T01:17:00.000+01:002008-11-28T01:18:37.071+01:00L’affaire JULIEN, mort à Meyzieu (Rhône) dans une prison sensée être adaptée.Rappel des faits : suicide d'un jeune de 16 ans, Julien, au sein d'une prison spéciale pour jeune à Meyzieu.<br /><br />Critiquer le fait qu'une structure pénitentiaire spéciale jeune soit réalisée ?<br /><br />Non.<br /><br />Par contre, suite au reportage vu dans " Envoyé Spécial " le jeudi 20 novembre 2008, le docteur Pierre Lamothe, médecin chef du srvice médico psychologique (SMPR) de Lyon pose un problème :<br /><br />Ce responsable a un discours illogique et dangereux.<br /><br />Pour lui, " d'une manière générale, présenter deux tentatives de suicide dans la même semaine peut aussi bien être préoccupant qu'être d'une immense banalité " <br /><br />" Le suicide ça ne peut pas être le langage normal "<br /><br />" le suicide n'est pas la condition nécessaire et suffisante pour obtenir un changement de son état " <br />(autrement dit, changer son état de prisonnier).<br /><br />Reprenons d'abord cette phrase :<br />" d'une manière générale, présenter deux tentatives de suicide dans la même semaine peut aussi bien être préoccupant qu'être d'une immense banalité "<br /><br />Cet homme compare les cas personnels " préoccupant " avec le fait que les tentatives de suicide en milieu carcérale sont nombreuses, et donc finalement banales. <br />Chaque tentative, qu'elle soit issue d'un profond mal être et l'envie d'en finir ou une manière d'appeler à l'aide, est préoccupant.<br />Mais comme le nombre de tentative est élevé, finalement cet acte devient à ses yeux : banal !<br /><br />Ce " mélange de jugement " est dangereux car il pousse à ne plus savoir comment réagir au lieu de chaque fois réagir.<br /><br />D'autre part, il dit plus loin que " le suicide ne peut pas être le langage normal ", autrement dit, qu'il est préférable d'utiliser des mots, de s'exprimer verbalement plutôt qu'avec des actes de violence…<br />Oui, merci beaucoup pour cette morale, mais quand un humain est privé d'une manière ou d'une autre de mots, c'est au médecin, au psychologue de le comprendre, plutôt qu'attendre.<br /><br />Seulement voilà, ce docteur a été formé avec des principes incapables de soigner : le freudisme.<br /><br />Et pour lui, le travail du psychologue n'est pas de décrypter les informations présentes dans le cerveau humain, mais d'attendre que le " patient " parle.<br /><br />On voit le résultat : une infamie intellectuelle.<br /><br />Enfin, l'illogisme est lorsque l'on rapproche " suicide = pas un langage dans la norme " et " suicide = pas une condition suffisante pour un changement d'état ".<br /><br />Le suicide n'est donc pas dans la norme, mais est suffisamment dans la norme pour ne pas réagir.<br /><br />Mr le docteur Pierre Lamothe, le suicide est dans la norme ou il ne l'est pas ?<br /><br />Et pendant que ce docteur, un ponte de la profession qui passe à la télé (qui continue donc à transmettre à grande échelle des données inexactes), se prend les pieds dans ses contradictions et les faits désastreux (son incapacité à soigner son patient), et bien… Rien de la théorie freudienne qui amène à son comportement, n'est remis en cause. Le rapport officiel de l'Etat sur cette affaire, dénonce les problèmes mais ne cherche pas à les résoudre en allant au fond des choses : " le savoir transmis aux futurs psychologues dans les universités françaises ".<br /><br />Ainsi, tout continuera dans le meilleur des mondes et les psychologues ne chercheront toujours pas quelles informations sont présentes dans le cerveau de leur patient, avec quelles valeurs respectives.<br />Une honte.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-17588437704448825462008-11-19T17:48:00.002+01:002008-12-09T14:46:46.824+01:00Acteur, actrice, les dangers psychologiquesLe 17.11.08<br /><br />Lu sur www.lepost.fr<br /><span style="font-style:italic;">=========================================<br />Benoit Poelvoorde mis en hôpital psychiatrique<br />Le moral de Benoît Poelvoorde n'est pas au top depuis quelques temps. Depuis un an, celui qui a fait rire la France et la Belgique est en dépression. Et la galère continue. En effet, dimanche soir, l'acteur belge a embouti trois voitures à l'arrêt derrière le casino de Namur.<br />Si l'acteur ne s'est pas plié aux autorités policières immédiatement, il a toutefois était emmené au poste de police. Selon une source de RTL.be, il était sous l'emprise de l'alcool et d'autres substances.<br />Alors qu'il était au poste de police, Benoît Poelvoorde a eu une crise d'angoisse et a demandé un médecin. Le lendemain, il a demandé à être transféré au service psychiatrique de l'hôpital de Namur.<br />En avril, l'acteur de "Podium" avait déjà été condamné pour conduite en état d'ébriété. Il avait percuté la façade d'une maison. <br /><br />Benoît Poelvoorde est en dépression depuis un moment, l'acteur aurait eu des difficultés à gérer son succès. Le tournage d'Astérix aux Jeux Oympiques l'a beaucoup affecté. II s'était à l'époque senti très isolé. Dans Le Soir, il avait déclaré: "Le cinéma a pris le dessus sur ma vie et je me suis retrouvé tout nu avec plus rien d'autre que mes larmes pour pleurer" relate Le Figaro. <br />=========================================</span><br />.<br /><br /><br />Par delà le « fait divers people », certaines personnes se demandent :<br />Mais comment peut-on en arriver là alors qu’on connaît le succès ?<br /><br />Je ne connais pas la vie de Benoît Poelvoorde et ne connaît donc pas les blessures anciennes de ce monsieur. Par contre, je sais que beaucoup d’acteur et actrice font se métier pour être aimé. Du moins, ils ont cette impression. Or l’amour c’est l’harmonie, la compréhension mutuelle, et être un acteur ne procure jamais cette harmonie. Au mieux l’acteur fascine par ses capacités, mais l’amour réel ce n’est pas ça. <br />L’acteur ou l’actrice cherche avant tout en général, à exister (suite à une sentiment ancien de « ne pas assez exister, de frustration » dont la base est propre à chacun). Et de cette simple quête banale et répandue, commence une course effrénée.<br /><br />Evidemment tous les acteurs et actrices ne sont pas dans cette recherche effrénée jusqu’à leur fin de vie, car beaucoup se rassasient avec leurs premiers succès, deviennent philosophes, équilibrés.<br /><br />L’autre élément qui peut faire « péter les plombs » lorsqu’on est acteur ou actrice, c’est la notion de « qui je suis finalement ? » Car à force d’être un personnage, à force d’aller dans « l’autre » d’aller au fond des choses, si on ne revient pas régulièrement à une position d’origine stable (soi), on finit par ne plus du tout savoir où est la réalité. Et lorsque l’acteur fait ce métier pour « fuir » sa personne, (lorsqu’on veut « interpréter des rôles » parce qu’on n’aime pas sa personne, la vie normale banale, etc) on n’a pas envie de revenir régulièrement au point d’origine « soi ».<br /><br />Soi = danger ; rôle = être un autre = survie assurée ; Etre soi = ?Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-19310901590409269252008-11-19T17:34:00.001+01:002008-12-09T14:46:08.296+01:00Déni de grossesse :Le 13/11/2008 Jugement d’un infanticide dans le Val d’oise.<br /><br />Rappel des faits : une jeune femme d’origine Maghrébine jette son nouveau né par la fenêtre.<br />La religion de ses parents interdit les relations sexuelles avant mariage. Or elle a eu une relation sexuelle non protégée et un enfant en est né.<br /><br />Le fait est « choquant » pour un certain nombre de personnes qui ne comprennent pas comment on peut en arriver là : « jeter son enfant par la fenêtre ??? ».<br />Ces personnes choquées n’ont peut-être pas compris que notre cerveau est un ensemble de valeurs, et que pour notre survie, on fait en fonction de ces valeurs dominantes.<br /><br />Valeurs dominantes : http://www.survisme.info/reponses/exemples_valeurs_dominantes.htm<br /><br />Ainsi, l’information « bébé » était assimilée aux informations « ma mort si ça arrive hors mariage car mes parents sont des Musulman pratiquants ».<br /><br />Quand on est face à un problème, on cherche à éliminer le problème. En l’occurrence, le bébé.<br /><br />Evidemment, cette jeune fille immature aurait pu fuir de sa famille, protéger sa vie et celle de son bébé, mais à l’information « bébé » décrite ci dessus, il faut ajouter « manque de communication ». Et le manque de communication (que ce soit avec ses parents ou le monde extérieur qui aurait pu lui donner des chemins possibles à suivre), a enfermé la jeune fille dans ses certitudes : <br /><br />« bébé = danger = survie non assurée ».<br /><br />.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-7431077552687981892008-11-07T21:51:00.001+01:002008-11-07T21:55:12.829+01:00Un ancien condamné comme délinquant sexuel, récidive au Mans.Ce vendredi 7 novembre 2008, un ancien condamné délinquant sexuel, récidive en agressant un petit garçon au Mans (Sarthe). Condamné en 2005, il a purgé sa peine de prison, il a été suivi et a respecté son contrôle après avoir été libéré. <br />Il a été suivi par des médecins, et il récidive.<br /><br />Ceci est le signe de la faillite du système de santé mentale. Evidemment, ces services manquent de moyens financiers, mais ne manquent-ils pas surtout d’efficacité parce que basé sur des théories de la psychologie humaine, totalement désuètes ?<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Le pédophile agit suivant des pulsions, liées à des peurs.</span><br />Ces peurs sont-elles soignées par les méthodes actuelles ? Non.<br /><br />Alors ne vous étonnez pas que ces problèmes continuent sans cesse.<br />Honte à toute la chaîne de responsabilités, des l’universités françaises aux responsables politiques, qui ne remettent pas en cause leurs connaissances.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-54857237070846789362008-11-03T18:06:00.001+01:002008-11-03T18:09:38.323+01:00Procès des bourreaux du petit « marc » cour d'assises de Douai.Résumé :<br />En janvier 2006, un enfant de 5 ans a été torturé à mort. Son beau-père est accusé d’avoir commis cet acte.<br />La mère est accusé d’avoir caché ces sévices. Des médecins, accusés de n’avoir rien vu malgré des examens, et de n’avoir pas dénoncé ce problème à la police.<br /><br />Les questions qui sont revenus dans la presse :<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Comment peut-on faire cela à un enfant ?</span><br /><br />- 1 - que ce soit à un enfant ou à un adulte, le crime est-il différent ? Non. Quand une personne torture une autre contre sa volonté, que l’on soit enfant ou adulte, on ne peut pas se défendre.<br /><br />Si l’ordre absolu de notre psychologie est la survie, alors… :<br /><br />- 2 - comment la survie d’un être peut passer par infliger des tortures à une autre personne ?<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Tout dépend de la valeur dominante à l’instant T.</span><br /><br />Vous vous sentez équilibré, sans problème, sans frustration, sans souffrance puissante ?<br /><br />Maintenant, imaginez que l’être équilibré soit soumis à une frustration telle que la violence physique soit le seul recours auquel il ait accès…<br />Car parler d’un problème, paraît parfois impossible.<br />Trouver la solution à un problème passé, peut l’être aussi (on ne peut pas revenir en arrière dans le temps).<br /><br />D’autre part : lorsque vous êtes face à un enfant, votre cerveau assimile l’information « enfant » à : « futur », « fragile », « merveilleux, » etc.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Mais si à cause d’un traumatisme vécu dans l’enfance, un cerveau assimile enfant à :</span><br /><span style="font-weight: bold;">« mon passé » , « humain qui ne me fera pas de mal si je lui fais du mal », « cauchemar »,</span><br />alors taper sur un passé mal vécu, taper sur un humain qui ne me battra pas en retour, taper sur un cauchemar, ça… n’est plus un problème.<br /><br /><span>- 3 – Comment une mère peut ne pas protéger son fils des coups d’un malade mental ?</span><br /><br />Survie, toujours survie…<br />Une mère protège son enfant quand il représente pour elle, le futur.<br />Que se passe-t-il lorsque dans le cerveau d’une mère, son enfant représente le passé, un passé mal vécu ? Peut-on effacer la trace d’un passé ?<br />D’autre part, entre deux menaces, laquelle choisissez-vous ?<br />La moindre.<br />Entre se faire battre et voir battre quelque chose qui ne représente pas son bonheur, le choix peut lentement se déterminer. Toutes les mères n’ont pas envie de se sacrifier pour leur progéniture, surtout si on arrive à vous faire croire que sa progéniture est « une merde ».<br /><br />(attention, RAPPEL : ce qui précède n’est pas « une justification » morale des comportements, c’est juste <span style="font-weight: bold;">chercher à établir noir sur blanc quels sont les valeurs d’une information dans un cerveau à un moment T., par delà nos préjugés, par delà nos propres valeurs</span>).<br /><br />L’humain n’est qu’une somme d’informations et une mécanique de réflexion axée sur la survie.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-41214745526921864782008-11-03T18:04:00.000+01:002008-11-03T18:06:12.128+01:00Le traitement de l’autisme en France.Le jeudi 23 octobre 2008, un reportage/témoignage de l’émission « Envoyé spécial » sur France 2 (chaîne française) a montré le parcours d’une famille dont un enfant est autiste. Cette famille (celle de Francis Perrin / comédien Français) a un petit Louis qui a été diagnostiqué comme « autiste », mais fort de son savoir, de la chance, et de ses moyens financiers, la famille ne s’est pas découragée et a décidé de le soigner par la méthode A.B.A.<br /><br />Cette méthode consiste à corriger les comportements « non maîtrisés » liés à l’autisme, par un apprentissage long et permanent du « comportement correcte » avec des systèmes de récompenses et de punition. <br />Elle permet aux autistes d’avoir une intégration sociale quasi normale, de recréer de la communication entre l’enfermement de l’autiste et le monde qui l’entoure.<br />Cette méthode est éprouvée depuis de nombreuses décennies ailleurs qu’en France.<br /><br />Dans le reportage, on voit les progrès accomplis et on constate que l’autiste parle et s’intègre dans une classe « normale ». (il s’intègre au prix d’efforts quotidiens, permanents de la part de gens formées pour, mais il s’intègre bien mieux qu’avec d’autres approches de traitement).<br /><br /><br />En terme d’informations, que ce passe-t-il dans le cerveau de l’autiste ?<br /><br />L’autiste capte énormément d’infos du monde extérieur, mais n’arrive pas à les « ranger par ordre d’importance ». Et face à cette avalanche de données, il a tendance (pour assurer sa survie) à se replier sur lui-même.<br /><br />Si j’écris sur ce sujet, c’est pour deux choses :<br /><br />1 : il a été clairement dit dans ce reportage que <span style="font-weight:bold;">la psychanalyse freudienne et ses variantes est totalement incapable de soigner les autistes.</span> Que non seulement la psychanalyse est incapable de soigner, mais qu’en plus, que son discours : « la science ne peut rien faire, votre fils restera comme ça toute sa vie », aggrave la santé du patient en ne reconnaissant pas qu’il y a d’autres approches qui elles, soignent. A de rares exceptions dans le monde médicale, l’orientation vers la méthode A.B.A. est inexistante. Pourquoi ? Parce que les médecins sont formés en France par des universités où l’approche Freudienne est totalitariste.<br /><br />« Vous voulez apprendre « les sciences cognitives ? Heu… le bureau est au 3ème sous-sol. »<br /><br />« Etudier autre chose que Freud ? Oula, c’est prendre des risques ! Vous pouvez vous « amuser » à lire autre chose que Freud, mais ne vous perdez pas dans des textes non reconnus par vos pairs ! » <br /><br />Les universités françaises de psychologie à l’heure actuelle sont fermées sur elle-mêmes. <br />Et elles forment des personnes avec des théories qui n’expliquent rien et ne soignent pas. <br /><br /><span style="font-weight:bold;">2 : je me suis demandé pourquoi ce sujet ne faisait pas partie d’un « vrai reportage journalistique »…</span><br /><br />C’est parce que les grands journalistes qui gèrent cette émission, n’ont pas voulu prendre le risque de « froisser » les dirigeants freudiens. Seule solution pour parler tout de même de cette méthode ? Faire une « carte blanche » à une personnalité.<br /><br />Ainsi, il n’y a pas l’étiquette « reportage dénonçant cette infamie pour l’intelligence humaine qu’est l’approche freudienne », mais, il y a quand même une info qui est passée au grand public de cette émission.<br /><br />Cela suffira-t-il pour faire avancer les choses ?<br />Hum…<br />C’est mieux que rien du tout.<br /><br />http://www.aba-france.com/abafrance/Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-38095277969685301122008-10-13T11:50:00.004+02:002008-10-13T11:54:47.131+02:00suicide d’une enseignante<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://www.survisme.info/reponses/trauma1.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 320px;" src="http://www.survisme.info/reponses/trauma1.jpg" border="0" alt="" /></a><br />Info : suicide d’une enseignante le 06/10/2008 à Massy<br /><br />Une psychologue est interviewée au journal de 20 h de France 2 pour dire qu’elle ne comprend pas ce geste :<br /><br />Une femme d’habitude, ne se pend pas (statistiques)<br />Une femme ne se suicide pas sur son lieu de travail (toujours les statistiques).<br /><br />A sa décharge, elle dit qu’elle ne connaît pas le dossier/ le cas.<br /><br />Mais alors, qu’est-ce qu’elle fait au 20 h de France 2 ? Les psychologue avec diplôme d’état sont donc incapables de comprendre la psychologie humaine ? ça fait peur… Surtout pour le système et les patients.<br /><br /><br />Voici pourquoi on peut en venir au suicide pour « assurer sa survie » :<br /><a href="http://www.survisme.info/reponses/exemples_suicide_antinomie.htm">http://www.survisme.info/reponses/exemples_suicide_antinomie.htm</a><br />(prendre connaissance de ces explications avant de lire la suite)<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Dans le cas de cette femme :</span><br />La pendaison est une forme de suicide généralement utilisée par les hommes parce qu’elle utilise des éléments physiques (lancer une corde à une poutre, / avoir une corde / monter sur quelque chose pour arriver jusqu’à la poutre, faire tomber l’objet sur lequel on est monté, etc.) contrairement à un empoisonnement qui ne nécessite pas ce genre d’efforts physiques.<br />Mais pour utiliser cette forme de suicide, il faut également ne rien avoir à faire de son apparence physique après la mort. Ce dernier point est généralement important pour les femmes : garder un aspect normal après sa mort (survie de l’image) (ce qui fait également que les femmes se mettent plus une balle dans le cœur que dans la tête).<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Le lieu de travail :</span> <br />On utilise son lieu de travail parce que cela sert sa « survie », sert à passer un message après la mort.<br /><br />- mon travail était tout pour moi / retrouver une sorte d’harmonie. Mon travail, je ne le quitterais pas même si ma vie me quittera.<br /><br />- cela évite de se pendre chez soi tout en restant dans un lieu familier. / On n’a pas envie que ses enfants tombent sur vous pendu ou suicidé. La « maison » reste « intègre ».<br /><br />Vous avez lu les différents types de suicide dans le lien au dessus,<br />après, chaque cas est fonction des valeurs dominantes de la personne qui en vient à cette extrémité.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-4674739771934128252008-10-05T18:23:00.004+02:002008-10-05T18:36:44.545+02:00Les gros sont partout… Pourquoi ?<span style="font-weight:bold;">Actualité : faut-il augmenter le prix des aliments gras et/ou trop sucrés ?</span><br /><br /><br />Voilà le débat minable organisé après que le gouvernement ait annoncé :<br />« il y a cette possibilité pour lutter contre l’engraissement de la population, de taxer les produits gras ou trop sucrés ».<br /><br />L’ordre de tous nos agissements est la survie. Le prix des aliments est bien sûr un élément important dans nos choix de ces derniers. Mais les personnes psychologiquement dépendantes ont-elle quelque chose à faire d’une taxe qui de toutes manières ne doublera pas le prix de vente ?<br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Pourquoi on grossit ?</span><br /><br /><br />L’humain mange pour avoir de l’énergie. Sauf cas génétiques rares, si l’énergie n’est pas dépensée intellectuellement ou physiquement, cette énergie se stocke sous forme de graisse.<br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Pourquoi un humain mange-t-il plus que sa faim ?</span><br /><br /><br />Plusieurs facteurs, mais la chaîne d’événements est souvent celle-ci :<br />Je me replie sur moi-même, je m’ennuie, j’angoisse face à tout ce qui me dépasse, je communique mal, et cet ensemble de facteurs fait que mon moral baisse.<br />Pour que mon cerveau obtienne à nouveau du « bonheur », je mange. <br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Pourquoi manger sans faim réelle ? </span><br /><br /><br />Parce que ça m’apporte du plaisir, le plaisir gustatif ; parce que ça m’occupe « j’ai l’impression de faire quelque chose » ; parce que « manger » me donne dans un premier temps l’impression de contrôler mieux ma vie ; et pour certaines personnes qui ne se sentent pas assez « exister », prendre du poids est inconsciemment ce que « me donnera du poids » par rapport aux autres. <br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">Solution ?</span><br /><br /><br />Lorsque l’humain en question n’est pas victimes de TCA (Troubles du Comportement Alimentaires / qu’il n’y a pas de « traumatisme » voir : www.iopiop.net) la solution passe par « sortir de ses habitudes » et occuper son cerveau par de réels travaux intellectuels. Faire de l’exercice physique (pas un marathon, seulement marcher, utiliser son vélo au lieu de prendre sa voiture, ne plus avoir peur de l’effort physique et de ses conséquences (transpiration, avoir peut-être l’air ridicule, etc.))<br /><br /><br /><span style="font-weight:bold;">L’engraissement de la société n’est pas un hasard : </span><br /><br /><br />sollicitations permanentes par les publicités, multitudes de choix et abondance de nourriture (quoi qu’on en dise), les efforts physiques quotidiens (et non seulement en salle de sport) sont pris pour « une faiblesse » (ne pas avoir de voiture, c’est être un « pauvre », et être pauvre dans une société d’abondance comme la notre, c’est «être nul »). L’humain devient flémard et son cerveau s’emmerde profondément faute d’être utilisé à autre chose que de recevoir des informations. <br />Autre élément important : notre société est anxiogène (elle l’est parce que la société médiatique vend plus si il y a des problèmes que lorsqu’il n’y a rien à dire… Il faut de l’action, du spectaculaire, du choquant).<br />Or face à toutes ces angoisses, aucune philosophie de vie autre que « consommer » n’est mise en avant.<br /><br /><br />L’humain sait de moins en moins gérer ses angoisses et répondre réellement aux problèmes (en trouvant des solutions).<br />Il préfère « se droguer » et ne pas affronter ses propres peurs.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6418009170080421782.post-66289178529808466632008-10-04T16:05:00.004+02:002008-10-04T16:27:20.162+02:00Jeux vidéos responsables ?Comment comprendre un enfant de 13 ans qui à force de jouer à un jeu vidéo réservé à un public plus âgé, finit par aller brûler des voitures ? (info du 21/09/2008 ) Jeu en question : "GTA IV: Liberty City"<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Informations présentes dans son cerveau :</span><br /><br />Aucun model humain qui attire son respect.<br />Le monde réel ne lui donne pas envie d’exister par la construction (le monde est pour lui « merdique »), ni ne lui permet d’exister. (problèmes familiaux ? Scolaires ?)<br />La notion de « vie en société et du respect du bien d’autrui », sont des valeurs inférieurs à la valeur :<br />« je dois exister ».<br /><br />Au contraire, le héros du jeu vidéo est respectable car puissant face aux éléments.<br /><br />On fait ce qui assure notre survie : Intervient alors le mimétisme.<br />Si le héros du jeux vidéo fait quelque chose de « puissant », je veux montrer aux autres que je suis aussi puissant, et s’il brûle des voitures, j’en brûlerai également.<br />C’est naturel et logique.<br /><br />Passer à l’acte par rapport au « monde virtuel » permet également d’augmenter le « taux d’adrénaline » qui n’est plus assez fort par la simple utilisation du jeu. Passer à l’acte répond à une frustration d’émotions.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Données parasites :</span><br />Le jeu vidéo a-t-il un part de responsabilité ?<br /><br />Oui en tant que « modèle » mais ce jeu n’est pas fait pour être utilisé par des enfants (il est interdit aux moins de 18 ans) car les enfants n’ont pas assez de recul, d’expérience, de savoir, pour arriver à gérer les notions de « réalités / fiction ». Ils sont également manipulables.<br />A noter : bien saisir ce qu’est « la réalité / la fiction », et ne pas se faire manipuler, n’est pas évident aussi pour des adultes, mais les habitudes comportementales acquises pendant l’enfance font qu’un certain équilibre s’est mis en place, et si « on n’a pas pris l’habitude de manquer de respect », passer cette barrière est plus difficile.<br />A noter que les parents (suivant leurs propres déclarations) n’ont vu aucun problème à ce que leur enfant de 13 ans joue avant un jeu interdit aux mineurs.<br />Qui est le plus immature ? L’enfant ? Le parent ?<br /><br />Quoi qu’il en soit, ce n’est pas le « jeu vidéo » qui crée des incendiaires. Ces derniers existent depuis que l’humain a compris le pouvoir et la puissance du feu.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Equation présente dans la tête des incendiaires :</span><br />« le feu c’est beau, détruire le bien d’autrui n’est pas un problème car je ne sais pas quels efforts il faut faire pour obtenir ces biens, je me sens très très mal dans ma peau et j’ai envie de détruire pour exister faute de savoir faire autre chose pour exister :<br />ma survie passe par brûler, maîtriser la source du feu. »<br /><br />Solution ?<br />Conscience de l'équation ci-dessus, trouver un moyen d'exister qui soit à sa portée (immédiatement et dans le futur), parler de ce qui le fait souffrir et voir comment ne plus être soumis à cette souffrance (qu'elle ne soit plus dominante par rapport aux autres valeurs présentes dans sa tête) autrement que par la "destruction".<br /><br /><br />Le cerveau humain est une machine qu'il faut connaître.Philippe hugoshttp://www.blogger.com/profile/02758466440742067377noreply@blogger.com0